Mariage du ROI et de la REINE

Bienvenue a vous noble Roi et Belle Reine que ces lieux vous servent de hall pour recevoir vos invités, vous trouverez votre trône ci près et derrière, la tablée prête à recevoir les festivités.
De chaque coté vous trouverez les musiciens et les amuseurs jongleurs etc….et j’ai même fait installer les lanternes pour que cette fête se poursuive jusqu’a tard dans la nuit.
Enfin tout est prêt pour saluer votre grandeur.

Belitir semblait perdu dans cette foule qui grouillait autour de lui et de sa douce.
tant de monde present laisserait des traces dans les memoires c'etait certain.
ainsi, acceuilli par le grand artiste Nozières et ses décorations florales de toute beauté, le couple s'avanca dans les jardins suivi de près par les membres de la guilde et des invités.

Ah! je vois que vous avez une fois de plus prouvé vos talents mon cher stratège!
je vous félicite et vous remercie beaucoup.
le roi laissa ensuite avancer sa douce Tristane avant de se placer à ses cotés.
Tout le monde voulait entrer avec rapidité dans les jardins pour être les premiers!
il ne restait plus qu'au nouveau couple à attendre que tout le monde soit à l'intérieur...

Tristane, très émue devant cette foule remercia avec douceur Vorc pour ses présents et surtout pour le pendentif qui saurait être très utile....

Popa San arriva entouré de sa famille, Chose extrèmement rare.
Mais pour rien au monde Moman n'aurait raté cet évènement.
Dame Tristane illuminait les jardins de son bonheur.
Elle était rayonnante et cela était un régal pour les yeux.
Un seul présent, mais il était symbolique de l'indéfectible amitié qu'il y avait entre eux.
Le Sabre de Kadeth, magique et sur lequel sont gravé les paroles Sacrées de son Dieu.

Très touchée de voir la famille entièrement réunie, Dame Tristane se leva et d'un élan du coeur alla les embrasser
Elle remercia Popa et tous les membres pour ce cadeau unique qui aurait une place particulière dans la demeure des nouveaux époux

Une bonne nouvelle avait egaye le retour d'un magicien en son royaume... Le magicien avait ete convie a ce mariage...

Ceci le touchait au plus au point, car etant une connaissance du seigneur Belitir qu'il considerait comme un ami personnel, il fut ravi d'etre convié a la fête...
De plus, ce mariage correspondait en temps et en heure avec le retour du magicien, car il s'en serait voulu de n'avoir pu assister à cette cérémonie...

Bonjour à vous, je tenais à vous remercier pour votre invitation Dame Tristane, et Seigneur Belitir, excusez si je n'utilise pas le numéro vous précédant, car pour moi vous saurez toujours Belitir, d'ailleurs on pourrait très bien y rajouter un tas de substantifs pour le qualifier...

Je tenais juste à vous féliciter pour votre union, et à vous souhaiter tout le bonheur et la joie ainsi que la prospérite que notre ile puisse vous offrir...
D'ailleurs, j'espère du fond du coeur que le conflit nous opposant pourra rapidement trouver une fin pour que vous puissiez ainsi profiter de ce nouveau bonheur...
J'espère egalement que votre descendance pourra prospérer sur notre ile...

Je ne vais pas m'attarder trop longtemps, car tellement de choses m'appellent en mes terres et à l'exterieur de celles-ci, mais je tenais juste encore une fois à vous remercier et vous féliciter...

Tenez, je vous ai également apporté un petit cadeau, dame Tristane, voici dans cet artefact la Lumiere d'Eomun, que cette lumière puisse vous guider dans les endroits sombres où aucune autre lumière ne pourrait venir réchauffer votre coeur.
Seigneur Belitir, le choix ne fut pas facile... Mais voici un plateau d'argent orné de vos armoiries... Il a l'avantage magique de ne pas faire ressentir le poids de ce que l'on porte, ainsi vous pourrez amener les petits dejeuners a votre dame alors qu'elle se trouvera encore au lit.

Olorin se retira mais resta dans la foule pour contempler ce nouveau couple, et participer à la fête, mais il savait qu'il ne pourrait rester très longtemps... [/i]

Dame Tristane remercia chaleureusement le Mage, impressionnée par sa puissance, et émerveillée par ces présents magiques.

Oh. Tout allait bien. Tout allait très bien. Un beau mariage en perspective s'annonçait. Du moins, c'est bien tout ce qui avait toutes les chances de se dérouler, et elle le souhaitait. Les quelques jours qui avaient suivi avaient été mornes et sans éclat. Marqués par quelques revers cinglants concernant la sécurité extérieure du royaume... un certain relâchement s'instaurait parmi les rangs.
Les soldats fléchissaient sur les derniers mois; en l'absence d'épreuves et de réel danger... les esprits s'émoussent et les tratèges se répètent. Un projet insensé était en préparation. La guerre civile avait cessé et les plaies se refermaient, tant bien que mal. Tant bien que mal...
Magus sourit. Ce n'était pas à la grandeur ou l'honneur qu'elle songeait; plus exactement, bien peu de monde les percevrait comme tels, même si elle suivrait toujours les principes qu'elles s'était toujours fixés. Elle ne songeait pas non plus à la victoire; l'histoire est toujours écrite par les vainqueurs, et ses chances de triomphe étaient illusoires. Aussi préférait elle ne pas les envisager dans l'instant, sans compter que de telles pensées lui apportaient un malaise impalpable... et la plongée dans les trames du Destin ne lui avait été d'aucun secours. La magie se comportait parfois comme le plus perfide des venins.
Le futur serait plein de troubles et incertain. Ce mariage était une bénédiction, en un sens.

Ainsi s'était elle retrouvée sur la route en direction de la Cité des Nuages, escortée de quelques uns de ses plus fidèles. Dont ce cher Jhen, qui, à son corps défendant, s'était retrouvé de la partie. Oh, il ne comprenait toujours pas la raison, mais il lui serait précieux à l'avenir... La sorcière savait qu'elle le perturbait par son comportement, elle savait qu'elle lui inspirait toujours de la crainte... mais elle avait besoin de son caractère et de sa compagnie, tout simplement. A cheval sur Oubli; la monture que lui avait offerte Uthan, lors de la visite qui les avait fait brièvement amants. Son souvenir s'effaçait plus lentement qu'elle n'aurait pensé. Et la fin qu'elle avait regretté de la Kaballe Chromatique avait ravivé cet évènement. Certaines choses ne s'oublient pas malgré les efforts et l'expérience.

Un mince collier de platine pour seul bijou qui entourait son cou. Une longue robe noire, douce comme de la soie. L'art du constraste des couleurs avec son corps. Oh, inutile de préciser qu'elle le mettait particulièrement en valeur, elle en était parfaitement consciente. Sensuelle et séductrice à la fois. Non pour briser un couple qui allait s'unir; d'une part parce que cela ne l'intéressait pour ainsi dire guère, d'autre part parce qu'elle ne pouvait commader à l'amour etre deux êtres.
Au contraire, l'ensorceleuse ne venait pas les mains vides. Dans un coffret se trouvait l'offrande qu'elle ferait aux mariés. Oh, un simple coffret, cela serait sans doute bien peu. Mais la taille ne faisait pas la valeur.

Finalement, elle arriva aux portes de la cité. Dans la cité régnait une effervescence joyeuse, et il lui fut aisé de trouver la salle d'un des palais où serait servi le repas avec les convives et les mariés. Encore peu de monde dans la salle, l'occasion de rendre les hommages aux mariés. Elle s'approcha en souriant, ayant veillé auparavant à ses hommes de partir dans la cité sans faire troubles, et parla aux deux seigneurs, d'une voix douce, et, elle s'en surprit elle même, un certain bonheur face au spectacle qui se trouvait devant ses yeux... la magie d'une des choses qui font de la vie n'était pas s terrible en fin de compte:

« Seigneur Belitir, dame Tristane, je tiens à vous féliciter de votre union, et à vous souhaiter un grand bonheur, que vous méritez vous deux. Même si je n'avais pas fait votre connaissance auparavant, Dame Tristane, je suis enchantée de combler cet oubli de ma part, et je tiens à vous féliciter soit dit en passant du choix de votre époux. » Un peu de malice perça dans la voix, avant de poursuivre, en direction de son ami.

« Quant à vous, seigneur Belitir, même si beaucoup de choses ont changé sur Nyléria depuis notre première rencontre, vous n'avez pas changé... et je doiis dire que cela me fait plaisir de vous voir toujours fidèle à vous même et vous engagements.
J'aurais un présent à vous faire, à vous deux.

Elle ouvrit le coffret qu'elle avait mené de ses terres. Une gemme, parfaite, étincellante, scintillant d'une lueur d'azur; et pourtant, à y regarder de plus près, le tout semblait curieusement... vivant. Solide et mobile à la fois.Et d'une puissance à couper le souffle.

« Tout ce que vous voyez est une partie de l'âme de mon royaume. Peut être jugerez vous mon présent comme une malédiction. Voiçi un des artefacts les plus puissants originaire de mes terres. L'Eclat du Destin. Je vous en fais don. Vous pensez peut être que je devrais le garder, étant plus à même de le contrôler. Je ne le peux. Seuls deux êtres vivant en symbiose de d'esprits et de sentiments peuvent s'en servir de manière bénéfique. Votre amour et votre cité des nuages vous donnent ce pouvoir. Même moi, je ne le peux. Il chercherait à me détruire, et j'aurais à peine la force d'y survivre malgré ma connaissance. Vous pourrez percer les voiles du temps, et voir ce que nul autre n'a vu dans les évènements du passé, et vous pourrez explorer les voies du futur. Je vous déconseille toutefois de le faire; parfois l'avenir est trop pénible à vivre; d'autant plus si l'on a vu le destin se profiler à l'avance, inévitable. C'est en comprenant mieux le passé que l'on rend son présent plus doux. J'ai confiance en votre sagesse.
Et une dernière chose: gardez confiance en votre amour. Seigneur Belitir, Dame Tristane, je vous souhaite encore une fois le bonheur... et si jamais, par le plus grand des malheurs, l'avenir s'assombrissait, vous savez que vous pourrez compter sur mon aide,mon hospitalité, et mon soutien. »

Dame Magus, je suis honorée de faire votre connaissance et je tiens à vous remercier pour ce présent qui est entre de bonnes mains et nous saurons en faire bon usage.

Votre présence nous honore et j'espère que vous trouverez de quoi vous sustenter et vous amuser au cours de cette fête.

Déjà très affamée, Dame Tristane se réjouissait de pouvoir enfin goûter ses fameuses shyp's dont soit disant "elle en valait le pesant"

San-Junior se libéra de l'étreinte de Dame Tristane et déclara:
"Bweerk, j'aime pas les gros poutoux tous baveux!
Et puis garde ça pour ton mari, rajouta t'il en rigolant, sinon, il va être jaloux. Et tiens, moi aussi, j'ai des cadeaux."
Il sortit de sous sa cape une pierre précieuse, assez grosse, qui semlbait projeter une aura verte tellement elle était brillante. "J'ai trouvé ça pendant mon exode, c'est la plus belle de ma collection, mais ne t'en fais pas, il n'y en avait tellement qu'elles ne valaient rien, ce qui fait que j'en ai d'autres, et des cadeaux aussi."
Et il ressortit d'autres objets de sa cape, un peu comme un magicien. Après quelques minutes, il avait sortit quelques robes, des bijoux et d'autres babioles sans grande importance. "C'est tout, me voilà bon pour repartir faire un exode, moi, rajouta t'il dépité, mais heureux pour les jeunes marriés. "Bon, c'est pas tout, mais il faut que je parle à Beli, je vais le voir".

Et il partit à l'autre bout des jardins, essayant de piquer au passage quelques gateaux, ce qu'il ne put accomplir car son père veillait au grain. A ce moment, il vit les Dragons d'Odabs descendre, et se dit que sa surprise serait moins grande, mais bon... Une fois à côté de Beli, il lui tendit la main fermée. "Ceci, Belitir, c'est ce que mon père a obtenu en 3 générations d'élevage de dragons nains." Il ouvrit sa main, et on vit dans sa main un petit oeuf rayé. "Il devrait éclore ce soir à minuit, si je ne me suis pas trompé dans mes calculs." Il lui donna l'oeuf et repartit près de son père, espérant pouvoir grignoter un petit peu.

D'un sourire attendrit, Tristane remercia le jeune couple débordant d'amour et pour leur présent si symbolique.

Tristane remercia San Junior tout en riant de ses blagues.

C’était le grand jour. Même à quelques kilomètres de la Cité des Nuages, l’agitation et l’effervescence était palpable. La vampire sourit sous sa grande cape bleu Ailé. Vêtue de bleu et d’argent, en tenue d’apparat et ceinte de son épée, Lahenor se dirigea vers le sanctuaire pour assister à la cérémonie.
Même de sa nature de vampire, elle était très émue de ce jour, grand jour pour la guilde, ses membres et la Cité.
Entrant aux côtés de ses compagnons Ailés, Lahenor n’avait jamais été aussi fière qu’à présent d’appartenir à la Guilde des Chevaliers Ailés. A genou et écoutant le psaume de Vorc, Lahenor fut parcourue de frisson. Ca y est La Cité et les Chevaliers avait une Reine ! Saluant d’un grand sourire celle-ci et son Roi, Lahenor s’inclina respectueusement et les suivit tout le long du chemin jusqu’aux magnifiques jardins de la Cité.
Elle y avait fait porter ses présents. Lorsque son tour arriva elle se présenta devant les époux. Elle s’avança tout d’abord vers Dame Tristane et s’agenouilla, quelque peu intimidée, avant de tendre un écrin de velour vert foncé et de l’ouvrir devant la nouvelle souveraine. Tristane découvrit un pendentif en argent, un entrelas des terres de l’ouest d’Azkenor, commandé par Lahenor à sa fille en Dun Laëh. Le motif païen représentait symboliquement un grand oiseau prenant son envol. En son centre une pierre aux lumières et aux couleurs changeante.

- Ceci Ma Dame n’est qu’un bien humble présent comparé à tous les magnifiques présents que vous avez déjà reçu. Mais la simplicité renforce parfois la beauté des plus belles choses, des plus belles femme. Aujourd’hui vous êtes la plus belle femme de cette assemblée et je dois avouer que ce pendentif d’Ïngu’Lahm, être du ciel et maître des cieux fait bien pâle figure à côté de la Reine que vous êtes à présent…

Lahenor s’inclina de nouveau et se tourna à présent vers Belitir. Elle lui sourit largement et se permit une accolade. La vampire Ailée tendit alors à son chef une têtière d’argent et d’or, armure qui descendait jusqu’en bas de l’encolure de Borisin, taillée sur mesure.

- J’ai pensé que tu aurais déjà beaucoup de chose pour toi, dit-elle avec un sourire en coin, alors j’ai pensé à ta monture… Faut innover !

Elle se recula de quelque pas et sourit aux mariés avant de leur souhaiter tout le bonheur qu’ils pouvait espérer (et que pouvait souhaiter un vampire ;) ). Lahenor s’éloigna ensuite pour laisser sa place et saluer quelques connaissances par-ci par là.

Popa San surveillait San junior du coin de l'oeil et ne put s'empêcher de sourire devant tant d'espièglerie.
Il observait les nouveaux arrivants, et vit pour la prmière fois des Seigneurs qu'il connaissait de noms mais dont il ignorait tout de leurs traits.

Il ne put s'empêcher de donner un tendre baiser sur la main de Tristane et se dirigea vers le roi.

Il le connaissait bien et c'est pour cela qu'il se permit d'avoir envers lui une certaine familiarité.

Il s'approcha de lui et lui demanda si il pouvait lui parler discrètement.
recevant une réponse affirmative de celui-ci, il lui chuchota à son oreille :

Moman San m'a dit de te prévenir que si tu manquais de respect envers ton épouse, elle s'occuperait elle-même de mener la charge sur ton royaume et qu'elle viendrait personnellement te ramener à la raison.
Popa ne put s'empêcher d'avoir un frisson d'horreur. Moman, c'est pas de la tarte quand elle s'y met, pensa-t-il.

Sur ces bonnes paroles pleines d'amour et d'amitié, Popa serra la main du roi et lui fit le plus beau sourire qu'il pouvait.

Tristane se leva et alla embrasser sa soeur de guilde en la remerciant chaleureusement de son présent.
- Ce pendentif est magnifique merci à toi ma soeur

Tiniwen arriva dans la salle, il était vêtu de sa plus belle tunique, qu'il avait troqué à son armure habituelle.

Sir Belitir, me voici présent, je ne pourrai par contre rester longtemps, quelques affaires me retiennent en mon royaume et en ma guilde.

Tiniwen prit un des ses petits chocolats appelés "ferrerorocher"

Sir Belitir et dame Tristane , je vous adresse tous mes meilleurs vœux de bonheur, dame Tristane je ne vous connais pas mais je peux vous jurer que Sir Belitir est homme d'honneur et de parole et qu'il saura je pense vous combler de bonheur de la plus belle manière.

Je ne peux malheureusement rester plus longtemps.

Tiniwen salua son ami Belitir et s'inclina devant la femme de son ami, il tourna les talons et partit en saluant la foule et quelques amis présents dans la salle.
_________________
Seigneur Tiniwen d'Isyria, Sénateur de l'Alliance Eternelle

Une grande ombre apparut à l'orée du bois qui entoure la cité qui grandissait à vue d'oeil tout en avançant puis elle s'arrêta, seule une ombre noire avança encore
c'était le seigneur Wein et son armee de chevalier noir.

Je me présente devant vous seigneur Belitir et devant votre femme pour vous présenter mes hommages !

Il s'agenouilla devant eux et toute sont armée en fit autant.
Sachez que je suis ravi de votre invitation et nous pourrons festoyer comme au bon vieux temps je me suis permis d'emmener mes chevaliers les plus fidèles, ils resteront en poste autour de la cité pour aider les vôtres. Je ne voudrais aucunément que des Orcs ou autre mécréants ne viennent troubler un moment de joie comme celui-ci.

Il fit un signe de la main et les chevaliers noirs se postèrent autour de la ville.

Allons mes amis, allons descendre quelques chopines

il sortit ses nouvelles ailes de dragon s'envola avec sa pinte et cria.

A BELITIR ET TRISTANE !!!!!!

Que le temps passe et on ne voyait toujours pas le seigneur Ardakan au mariage du seigneur Belitir et de Dame Tristane. Mais que pouvait-il bien faire ? Sa présence en temps que jeune chevalier ailé serait souhaitée et bien vue de ses compagnons. Mais se qu’il fallait bien savoir sur lui c’est que pour Ardakan, c’est de sa nature mi-humaine, mi-démon, c’était un être solitaire, enfin presque seul son frère comptait pour lui. Mais depuis quelque temps Ardakan changeait, bien sur son frère comptait toujours autant pour lui, mais il s’ouvrait à d’autres personnes, ces personnes c’étaient les chevaliers ailés.

Mais que fait–il, toujours pas de nouvelles d’Ardakan, les invités arrivent un à un face aux jeunes mariés, en présentant leur vœux et félicitations au jeune couple.

Arrivant enfin, Ardakan était habillé de ses plus beaux atours en soie et de lin. Derriére lui deux de ses valet les bras chargés. Il ouvrit la porte de la salle de réception les jeunes mariés et convives dansait sur de la musique de salon. La fête battait son plein. Lorsque la danse fût terminée, il s’avança vers le jeune couple

Sir Belitir, Dame Tristane, «et d’une révérence Ardakan les salua »Toute mes félicitations pour votre mariage, désolé de ne pas avoir pu assisté à la cérémonie quand j’ai reçu l’invitation j’étais bien loin. Je suis parti aussitôt pour être à temps mais, malheureusement je suis encore en retard. Pour me faire pardonner acceptz ces présents
Ardakan d’un geste de la main fit venir ses deux valets, le premier valet s’avança vers dame Tristane, avec dans ses mains les plus beaux napperons que possédait le royaume de Riredia ainsi qu’un magnifique vase en Jade

Voici pour vous Reine, j'espére que cela sera votre goût

Le deuxième s’avança a son tour vers le seigneur Belitir, avec en mains non pas des parures de drap en soie, mais quoi de mieux pour un seigneur que d’offrir deux épées jumelles au doux nom de Vive flamme et de Vif éclair, forgées par le meilleur forgeron de Riredia.

Et voici pour vous mon Roi, je dois vous prévenir que ces deux épées ne peuvent être séparées l’une de l’autre, comme votre union qui vient d’être célébrée. Maintenant libre à vous d’offrir a votre moitié l’une de ses lames, mais elle devrons combattre l’une à côté de l’autre.

Toute en faisant un nouvelle révérence Ardakan s’éloigna des mariés avec ses deux valets.